Le Concept le plus Révolutionnaire que t'aies Jamais Entendu

Ecoute mousaillon (ouep j’ai envie de prendre le large ces temps mouahaa)
J’ai lu hier un truc qui a complètement changé ma vision du monde. 
MAIS ALORS COMPLETEMENT. 

Ca va, t’es bien installé tranquille ?
Prêt à lire ZE de ZE de ZE TRUC DE FOLIEEEE ?
Bon ok, j’arrête le suspense je sais que t’es busy : 

YOUR PLAYING SMALL DOESN’T SERVE THE WORLD. 
(de la très sage Marianne Williamson) 

Je ne sais pas comment ils traduisent en français mais ça revient à ça : le fait que tu te fasses tout petit, le fait que tu te rendes invisible, le fait que tu n’exprimes pas tes talents, le fait que tu limites tes rêves, le fait que tu n’oses pas rêver GRAND ça n’aide personne.
Ca ne sert pas le monde. 
Ca lui fait même défaut.

En fait ça va plus loin. 
Si tu te retiens de faire ressortir tous ces trucs géniaux en toi c’est que t’es super égoïste. 
C’est ton ego qui parle. 
Oui, oui moi aussi j’ai eu du mal à comprendre. 
Je me disais « mais attends, non, non, l’ego c’est vouloir réussir, vouloir aller très très loin, vouloir être visible, se mettre en avant »... non ?

NON les gens NON NON NON !
L’ego c’est justement se cacher derrière cette excuse pour ne pas avancer. 
L’ego c’est cette partie de toi qui a peur d’être jugée, qui a peur qu’on te critique, qui préfère ne pas se planter plutôt que d’oser. 
L’ego c’est penser à tout ce que tu risquerais te perdre, surtout cette image que tu aimes tant maintenir, aaah cette belle image que tu t’es construite au fil des années !
L’ego c’est la peur que les autres ne te comprennent pas, c’est celle de vouloir constamment leur approbation, parce que ça fait bien moins peur que de se retrouver seul sur un nouveau chemin . 
L’ego c’est toutes ces fois où t’as failli faire un truc FOU, que t’as eu un élan de malade et puis non, tu t’es arrêté avant. 
L’ego c’est toutes ces fois où tu t’es planté et qu’il s’est blessé, ces évènements organisés qui n’ont pas marché, cette poésie qui n’a pas plue, cette idée qui n’a enthousiasmé personne sauf ton petit cœur et tu as alors tout enterré tellement cet ego en a pris un coup. 

Mais les amis. 
On est dans la merde. 
Si on s’arrête à l’ego, on est vraiment dans la merde. 
Parce que je le répète : « YOUR PLAYING SMALL DOESN’T SERVE THE WORLD ». 

Je sais que t’es frustré. 
Je sais qu’il y a plein de choses que tu aimerais changer dans ce monde. 
Je sais que tu veux vivre de ce que t’aimes en aidant les autres.
Je sais que tu aimerais avoir un impact. 

Alors pour ça TU NE PEUX PAS JOUER PETIT. 

Tu dois accepter de rêver GRAND et d’exposer ton ego si précieux. 
Tu dois le faire taire quand tu oses enfin poster ta première vidéo et qu’on se moque de toi. 
Tu dois le faire taire quand tu es sur le point d’abandonner parce que personne ne semble s’intéresser à tes idées. 
Tu dois le faire taire quand tu agis et ne semble pas encore avoir de résultats. 

Je sais c’est terrifiant. 
C’est toujours terrifiant !!
Je t’écris ça et je suis morte de trouille, comme à chaque truc que je poste, à chaque chose que je crée. 

Alors je me souviens : MY PLAYING SMALL DOESN’T SERVE THE WORLD. 

Et puis je sors TOUT. 
Et je continue. 
Et je décide de rêver grand. 
Je décide de vouloir impacter un jour des millions de gens. 
Je décide de ne m’arrêter à aucun obstacle, aucune moquerie, aucune critique. 
Parce que j’ai des convictions et des talents qui peuvent changer le monde. 
Et que TOI tu en as aussi. 

Alors ne soyons pas égoïstes, ok ?
Arrêtons de nous cacher.

Tu connais peut-être David Laroche France (que j’admire énormément), qui a aujourd’hui un succès phénoménal avec ses séminaires et tout ce qu’il crée. 
Il raconte souvent qu’au début il louait des salles très grandes et que seulement une ou deux personnes venait. 
T’imagines le truc ?
T’aurais eu le courage de continuer ?
Mais il ne s’est pas arrêté. 
Parce que c’était trop important. 
Parce qu’il ne pouvait pas se faire petit. 
Pas maintenant, pas demain. 
Et aujourd’hui il remplit des salles entières. 
Tout ça parce qu’il n’a pas laissé son ego blessé le guidé. 
Tout ça parce qu’il a compris qu’il ne pouvait pas rester petit. 
Pas s’il voulait vraiment changer le monde. 

Encore récemment j’ai rencontré quelqu’un qui avait été transformé par ses séminaires. 
Imagine s’il s’était arrêté au début ?
Imagine si on s’arrête toi et moi, juste là, au début ? 

Je te laisse avec le magnifique poème de Marianne Williamson (et sois pas relou, si tu crois pas en Dieu comme moi, remplace le mot "God" par autre chose): 

"It is our light not our darkness that most frightens us

Our deepest fear is not that we are inadequate.
Our deepest fear is that we are powerful beyond measure.

It is our light not our darkness that most frightens us.

We ask ourselves, who am I to be brilliant, gorgeous,
talented and fabulous?

Actually, who are you not to be?

You are a child of God.

Your playing small does not serve the world.

There's nothing enlightened about shrinking so that other people won't feel insecure around you.

We were born to make manifest the glory of
God that is within us.

It's not just in some of us; it's in everyone.

And as we let our own light shine,
we unconsciously give other people
permission to do the same.

As we are liberated from our own fear,
Our presence automatically liberates others."

—Marianne Williamson

Je vous traduis juste les derniers mots que je trouve magnifiques: 

"Et, au fur et à mesure que nous laissons briller notre propre lumière, nous donnons inconsciemment aux autres la permission de faire de même.
En nous libérant de notre propre peur,notre puissance libère automatiquement les autres."

Libérons nos peurs. 
Arrêtons de nous cacher.
Libérons les autres. 

ET CHANGEONS LE MONDE.

Et puis au final, ON S'EN FOUT!

J’ai passé ces derniers jours à me demander ce que je faisais. 
A qui je m’adressais. 
Comment je pourrais me décrire sur la page « à propos » de mon site, alors que je déteste me limiter à une seule définition car ce que je trouve badass chez les gens c’est ce coktail incroyable de qualités qu’on ne trouve chez personne d’autre. 

Je me suis demandée pourquoi tu lisais ces mots, pourquoi t’avais accepté de liker ma page ou de t’inscrire à ma newsletter (pssst inscris-toi quand même, j’y écris des trucs qui ne paraissent que là ! :p) et si le fait que tu kiffes parfois mon écriture et ma philosophie ça suffit pour suivre mon travail.

Ils le disent bien pourtant dans ces formations en ligne, que c’est important de connaître ta cible, que c’est primordial de définir UNE chose dans laquelle tu serais experte, et que c’est la seule façon pour qu’on te prenne vraiment au sérieux. 

Seulement voilà, moi j’ai un problème avec ça. 
Ok, je l’admets la stratégie est sans doute plus efficace. 
Parce qu’entre un resto spécialisé en un seul type de cuisine et un buffet international, on s’imagine bien que ce sera meilleur chez les premiers. 

A moins que... 
A moins que tu connaisses le gérant du buffet international. 
Que tu adhères à sa philosophie et que tu lui fasses confiance quoiqu’il décide d’ajouter au menu. 
Parce que tu sais qu’il y ajoutera toujours sa touche personnelle. 
Parce que tu sais qu’il donnera toujours le meilleur de lui-même. 
Parce que t’aimes l’expérience et l’énergie des lieux. 

Tu vois un peu où je veux en venir ?

Si tu regardes les personnes qui réussissent à avoir un impact sur internet, elles commencent souvent par nommer leur site selon leur cible et/ou thématique. 

Si elles parlent de marketing, tu vas trouver le mot marketing dans le titre. 
SI elles parent d’entrepreneuriat, ce sera clairement autour de ça. 
Si elles parlent de confiance en soi, elles grandiront une communauté autour de ce thème.

Et puis bien souvent quelque chose se passe. 
Une fois un certain succès atteint et quelques milliers de vies impactées positivement par leurs contenus, leurs créations et leurs programmes, elles en ont marre d’être cantonnée à UNE expertise, UNE direction. 
Alors elles changent le nom de leur site. 
Elles le changent pour leur propre nom. 

(Ahem, je suis une geek qui adore étudier le parcours des gens, mais dis-moi, tu as aussi remarqué ça ? :p)

Elles se sentent alors beaucoup plus libres de créer ce qu’elles sentent, ce qu’elles ont envie d’offrir au monde sur le moment et si tu les suis depuis longtemps, que tu aimes leur philosophie et qu’elles t’aident vraiment, tu t’en fiche de savoir ce qu’elles font ensuite. 
Tu leur fais confiance, même si elles se mettent à la cuisine internationale. 

Et c’est là où je veux en venir aujourd’hui. 
J’ai conscience que créer un site avec « juste » mon nom sur le court terme c’était pas forcément la meilleur stratégie.
Et y’a des fois où je me dis « mais Laura meuf, arrête-toi à UNE thématique, et basta ! ». 

Seulement je ne suis pas comme ça. 

J’aime parler de liberté, parce que je ne supporte pas l’idée d’être limitée !
J’aime parler du fait d’être introvertie, parce que c’est une grande partie de qui je suis et ça influence comment je construis ma vie!
J’aime parler d’’entrepreneuriat, parce que je sais que je ne pourrais jamais me limiter à un cadre, et que l’entrepreneuriat c’est fait pour moi ! 
J’aime interviewer des explorateurs de liberté, parce que les conversations à deux c’est mon dada !
J’aime parler de ce qui me passe par la tête, de philo, d’art, d’écriture tout ça !
J’aime parler de choses plus concrètes comme la confiance en soi, agrandir son cercle social, de charisme et puis merde plus tard pourquoi pas la séduction comme c’est des choses que j’ai dû apprendre et qui ont vraiment changé ma vie !
J’aime parler de comment faire pour se lancer, de comment entrevoir différemment la réalité, parce que c’est ce que j’aurais voulu découvrir il y a déjà longtemps de ça !

Et puis ce dont je suis certaine c’est : 

Qu’en limitant mes thématiques je limite ce que j’ai à offrir aux monde. 
Que quoique je fasse, je donnerai toujours le meilleur de moi-même. 
Que je ferai toujours tout pour t’aider et t’inspirer un max. 
Que le plus je suis MOI, dans toutes mes facettes, tous mes talents et toutes mes passions, le plus je vais attirer les bonnes personnes dans mon univers. 
Que si je fais tout ça, c’est aussi pour m’amuser et que JAMAIS je ne veux m’ennuyer, parce que pour ça je n’ai qu’à prendre n’importe quel job de bureau et basta. 

Ces prochains moi je vais organiser un séminaire sur «Comment savoir TE vendre pour obtenir tout ce que tu veux dans la vie », et ça va juste être OUF, avec tellement de valeur et de conseils concrets que ça m’est égal de savoir si ça va avec l’image de mon site ou pas. 
(Pssst, si t’es à Genève et que ça peut t’intéresser, dis-le moi !)

Je suis également en train de créer une formation gratuite sur la liberté !

Je prépare aussi des soirées pour s’entrainer au « public speaking » à Genève, et pareil, ça va juste être super sympa !
(Psssst, certains des meilleurs speakers sont introvertis, crois-mois ! ;) )

Et en juin je vais sans doute lancer mon premier programme en ligne autour de l’entrepreneuriat, et quelle que soit la forme que ça prend, ça sera bourré de valeur, de CONCRET, de tout ce que j’aurais voulu qui existe mais que je n’ai pas trouvé, BREF, je n’aurais pas peur de bosser jour et nuits pour créer le meilleur produit. 

Tout ça pour dire que si tu es aussi en train de construire une audience. 
Ou bien si tu lances dans ton activité.
Ou même si tu te crées une nouvelle vie et que tu ne sais pas comment la décrire. 

Au final, ON S’EN FOUT ! :D

Tant que tu restes dans ta badasserie (ouaip je sais ce mot est pas trop beau haha), que tu t’amuses, que tu t’exprimes, que t’aides les autres, tu n’as pas besoin d’une étiquette précise ! 

Et puis, ce dont je suis persuadée c’est qu’aujourd’hui on aime beaucoup plus suivre le parcours d’une personne à part entière, plutôt que d’être réduit à entrevoir juste un aspect de ce qu’elle peut nous apporter. 

J’aimerais finir en te parlant de Léonie Dawson. 
J’ai découvert cette femme à travers un podcast qui fait des interviews avec des self-made millionaires. (https://eventualmillionaire.com)

Son site (tu le devines!) c'est : http://leoniedawson.com

Léonie Dawson c’est une vraie hippie (ses propres mots !). 
Elle est artiste, fan d’huiles essentielles, maman, entrepreneuse, hyper spirituelle et bien d’autres choses encore!
Elle crée ce qui lui vient, vend ce qu’elle sent sur le moment, et va voir son site c’est une explosion de couleurs et ça sent l’artiste complètement libérée. 

Et c’est pas ce côté là qui l’empêche d’être une business woman, non, elle offre également des formations pour les femmes entrepreneuses et c’est précisément parce qu’elle OSE monter toutes ses facettes qu’on lui fait confiance. 
Cette merveilleuse hippie a un chiffre d’affaire annuel de plus d’un million de dollars. 
Elle vit dans la nature, n’a pas besoin de beaucoup mais a compris que l’argent peut faire de grande choses pour changer le monde. 

Et puis avant tout, elle a compris ceci : que le plus elle décide d’être elle-même, dans toutes ses folies, le mieux elle parvient à servir le monde. 

Alors voilà, avant tout SOIS-TOI ! 

Parce que tout le reste, vraiment, on s’en fout un peu, crois-moi. ;)

<3

P.S : Merciii aux inscrits à ma newsletter qui ont répondu à mon sondage !!
Je suis trop une boulette, j’aurais dû ajouter une question sur votre nom/adresse email parce que du coup je ne sais toujours pas qui se cache derrière ces réponses trop badass !
Bref, je m’excuse et je le ferai la prochaine fois. ☺
(Et si tu veux m’envoyer un message en me disant ta réponse à la questions badass pour que je mette un nom sur tes réponses, hésite pas ! )

Si tu lis ça et que t’es pas encore sur ma newsletter, rejoins-nous ! (le lien juste en dessous^^)

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Des bisous ! ♥< <3 <3

P.P.S. : photo prise l'automne passé, lors de mon tour de Suisse Romande à vélo. aaah vivement le printemps!!

Quand t'es pas "COOL"

« (…) Tu sais ce que c’est notre vrai problème en fait ? 
C’est qu’on a peur de ne pas faire partie des gens cools. 
On a peur d’être exclues du groupe. 
C’est à nouveau comme à l’école, la peur d’être regardées de haut par les meufs populaires et se résoudre à raser les murs. »

C’est ce que j’ai sorti à une amie l’autre jour quand on était en pleine discussion sur oui ou non aller faire un truc qui nous tentait bien. 
Et c’est vraiment sorti tout seul, parce que je crois que c’est ce qu’on pensait les deux sans oser le dire. 
C’était la peur de revivre l’expérience des bancs de l’école. 
Celle d’avoir à nouveau l’impression d’être à côté de la plaque, d’être toujours moins bien que les autres. 
Celle de ne pas être assez cool pour faire partie du jeu. 

Ca m’a fait penser à tout ce que je me suis empêchée de faire dans la vie parce que je ne me sentais pas à la hauteur, pas assez « cool ». 
Toutes les fêtes où je n’ai pas voulu aller, toutes les expériences que je me suis empêchée de vivre. 
La plupart du temps j’ai l’impression d’avoir dépassé tout ça. 
Et je kiffe tellement ma propre compagnie et les gens qui m’entourent que si tu me demandes je crois aujourd’hui que je suis le summum de la coolitude ! (en toute modestie ;p)
Mais quand t’es quelqu’un qui a souffert de ne pas avoir été accepté, ce sont des blessures qui ressortent de temps en temps. 

Pendant longtemps j’ai voulu faire partie des gens cools. 
J’étais obsédée par comprendre pourquoi certaines personnes étaient appréciées, pourquoi certains n’avaient aucun problème à former des groupes qui semblaient super-stylés et d’autres comme moi semblaient toujours galérer. 
(les gars, en écrivant ce texte je me rends compte que je n’ai aucune idée de l’équivalent du mot « cool » ces jours haha, ça te montre mon niveau de coolitude !;)).

Je crois que c’est aussi pour ça que je me suis intéressée au développement personnel.
Je voulais décrypter ces codes que je ne comprenais pas et récupérer ces toutes ces infos qu’on avait oublié de me confier à ma naissance. 
Sérieux, ils les avaient planqué où les codes secrets d’une vie géniale avec coolitude extrême ? 
Bien plus simple de tricher aux Sims moi j’dis. 

Peu à peu, les codes je commençais à les comprendre. 
Je voyais bien que certains principes marchaient et que si tu le voulais vraiment tu pouvais apprendre le charisme et la coolitude.
A cette époque je me disais même qu’ils feraient mieux de nous enseigner ça à l’école plutôt que Pythagore, mais bon je ne suis pas objective, les maths ça n’a jamais été mon dada. 

J’écoutais une interview de Jack Canfield l’autre jour, un pilier du développement personnel aux States. 
Il racontait qu’à un dîner récent avec ses potes écrivains qui avaient publié des best-sellers dans ce domaine, ils avaient tous réalisé qu’à l’école ils ne faisaient pas partie des gens cools. 
Qu’en fait c’est parce qu’ils n’en faisaient pas partie qu’ils avaient appris à mieux observer, à mieux décortiquer toutes les subtilités des interactions sociales et qu’ils pouvaient les enseigner comme des chefs aujourd’hui. 

J’ai trouvé ça chouette, et ok, mon best-seller est pas encore sorti (ahem, patience !) mais tout ce que je partage ici je le fais pour aussi ça : 
parce que je sais ce que c’est de pas avoir confiance en soi, 
je sais ce que c’est de se sentir à côté de la plaque, 
je sais ce que c’est de douter de ses qualités et de se sentir frustrée.

Et je sais aussi à quel point c’est important de dépasser tout ça. 

Parce que tu vois, cool ou pas ON N’EST PAS LA POUR CA !

On est là pour surkiffer l’aventure sans rien prouver à personne ! 
On est là pour créer des choses qui nous rendent happy comme jamais et faire des rencontres inoubliables !
On est là pour se planter tellement de fois qu’on aura assez à raconter sur notre lit de mort !
On est pour se marrer à n’en plus finir !
On est là pour dire merde à toutes les étiquettes !
On est là pour créer des projets fabuleux et changer les choses à notre échelle !

Et tant qu’on fait ça, en ce qui me concerne, on transcende toute la coolitude du monde.

JE NE SUIS PAS COOL parce que j’aime passer mon weekend à lire des bouquins dans mon lit. 
JE NE SUIS PAS COOL parce qu’il me faut du temps pour réfléchir, pour exprimer mes idées.
JE NE SUIS PAS COOL parce que je suis souvent perdue dans mes pensées et dans mon univers. 
JE NE SUIS PAS COOL parce que le shopping ne m’intéresse pas.
JE NE SUIS PAS COOL parce que je ne regarde pas les nouvelles. 
JE NE SUIS PAS COOL parce que je voyage souvent toute seule. 
JE NE SUIS PAS COOL parce que je peux passer des heures à parler philo, sens de la vie et comment changer le monde. 

Au final, le meilleur hack que j’ai trouvé c’est d’arrêter de vouloir faire partie des gens cools. 
Je suis awkward de nature et tu sais quoi ? 
Pour rien au monde je ne voudrais changer ça.  
Parce que c’est grâce à cette nature que je décide constamment de me dépasser. 
C’est grâce à elle que je t’écris sans jamais rien cacher (flippant, mais tellement libérateur !). 
Et puis c’est grâce à elle que j’arrive à créer des communauté de rebelles dans l’âme qui disent merde à la coolitude et qui sont prêts à tout pour vivre la vie qu’ils veulent vraiment. 

Alors si toi aussi tu t’empêches parfois des trucs par peur de ne pas être assez « cool », rappelle-toi que ceux qui changent le monde sont rarement ceux qui rentrent dans un moule tout lisse et parfait. 

C’est ceux qui envers et contre tout, sont prêts à tout remettre en question pour leurs convictions. 
C’est ceux qui osent prendre le risque d’être différents. 
C’est ceux qui ont le courage de marcher seuls un moment.
C’est ceux qui ne veulent rien compromettre pour réaliser leurs rêves les plus fous. 

Tu vois au final pour moi c’est ça, « être cool ». ;)

<3

ET toiiiii raconte-moi, est-ce que tu t’es déjà sentie à côté de la plaque ? 
Est-ce que tu revendiques fièrement ton côté awkward ??